Les problèmes auxquels les entrepreneurs ont dû faire face ces derniers mois sont multiples. Le simple fait d’être “administrateur d’une société”, qu’elle soit inactive ou non, signifiait déjà, dans certains cas, et selon qui traitait la demande d’aide ou de droit, pourrait rester en dehors de celles-ci. Comme indiqué dans le IMV, APPROUVÉ PAR RDL 20/2020 du 29 mai. Sans parler des nombreuses activités qui, par omission au RDL del’état d’alerte de mars 2020, étaient considérées comme des activités ESSENTIELLES. Par exemple, les services de Conseil, Fiscal, Comptable et du Travail des entreprises, juste le collectif de choc que j’ai relié au Autonome, Entrepreneur, Société par l’intermédiaire d’un autre acteur intermédiaire, les Mutuelles, qu’ils exerçaient comme un assujetti, qui devait résoudre les dossiers et les aides émanant de la pluie de réglementations approuvées jusqu’à aujourd’hui. Et qu’aujourd’hui, ils continuent à sortir et à sortir pendant les prochains mois.